Een aardig impressionistisch schilderij met havenzicht. 100x80cm
Het stelt een voorovergebogen roeier voor in een stille haven waar opgetuigde boten aan de kade liggen. Een vervreemdend beeld.
Desmedt speelt met het licht dat door de zeilen valt. De bovenste helft van het werk is in aardekleuren gaande van gebroken wit naar diep roestbruin oranje.
De onderste helft van groenwit naar donkergroen.
Signatuur rechtsonder |
Jos Desmedt, geboren te Antwerpen (België) in 1894. Overleden 1970.
Schilder en tekenaar van landschappen, figuren, portretten, historische en religieuze scenes, allegorische composities van naakten. Tevens beeldhouwer, ontwerper van glas-in-lood ramen en muurschilder.
Hij studeerde aan de kunstacademies van Antwerpen, Mechelen en Brussel (1909-1919) onder leiding van J. Delville, C. Montald, H. Richir en V. Rousseau.
Perfectioneerde zijn talenten in Paris in de studio van L.O. Merson.
Leraar aan de Kunstacademie in Etterbeek.
bron: http://www.galerie043.nl/=classic/jos-desmedt.htm
Een werk van Permeke aan het staketsel
en van Van Beurden
Van Beurden |
Andere werken van Jos Desmedt:
De processie |
1922Danseuse se chaussant |
Le repos des chasseurs |
Fête au village 1942 |
Trois oiseaux |
Les musiciens ambulants |
1942
|
Scène rituelle en Afrique |
zicht te Lissewege |
portret de monsieur Ducoeur 1942 |
Naakt |
portret van jonge dame (veilinghuis Rops) |
Paysans |
Joueur de cornemuse |
Schaapsherder |
Picnick bij de waterkant (1100-15) |
Hij maakte ook grafisch werk in Art Decostijl.
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bron http://www.irismonument.be/nl.Etterbeek.Sint-Antoonplein.A001.html
Parochiekerk van Sint-Antonius van Padua
Sint-Antoonplein
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------CHARLEROI Sept mois de travail pour gommer soixante-quatre ans d'usure La salle des mariages de l'hôtel de ville requinquée Profession: restauratrice de tableaux
ALBIN,DIDIER
Vendredi 26 mai 2000
CHARLEROI Sept mois de travail pour gommer soixante-quatre ans d'usureLa salle des mariages de l'hôtel de ville requinquée
Sept mois après l'ouverture du chantier, les travaux touchent à leur fin. Les trois portes massives de la salle des mariages de l'hôtel de ville de Charleroi s'ouvriront bientôt sur un espace entièrement rénové. Seules les sept grandes baies de la façade principale, garnies de vitraux aux armes des chefs-lieux des cantons administratifs de l'arrondissement, n'ont bénéficié d'aucun traitement particulier. C'est le désamiantage du plafond et son remplacement qui ont constitué le gros morceau de l'opération. La facture sera en définitive plus élevée que les 8,4 millions budgétés puisque la présence d'amiante avait été sous-estimée. Le service des bâtiments table sur un coût de onze millions.
La salle se présente dans une livrée clinquante: les boiseries qui garnissent ses murs, comme l'encadrement des tableaux qui les surmontent, ont été nettoyés et revernis, ce qui accentue leur éclat. Les murs ont été repeints. Pour le choix des couleurs, l'entrepreneur a soumis plusieurs projets en images de synthèse. L'association du jaune et de filets rouge brique, pour souligner les dorures, a emporté les préférences. La fraîcheur de ces tons contraste avec le brun qui faisait jusque-là l'ordinaire des cérémonies et sessions du conseil communal. Tant qu'à faire, la Ville de Charleroi a opté pour un nouvel éclairage et en a profité pour confier le nettoyage de ses trois immenses lustres en cristaux brise-lumière à son personnel d'entretien. Composés de la bagatelle de... 90.000 perles du val Saint-Lambert, ils ont été descendus pour pouvoir être patiemment débarrassés de leur poussière et astiqués.
La décoration picturale a elle-même subi ce qui relève plus d'un travail de prévention et de conservation que d'une restauration proprement dite. Datant de 1936, les oeuvres n'avaient en effet pas eu le temps de se détériorer, si ce n'est par l'usure normale du temps. Elles n'ont donc pas nécessité de retouches mais juste un toilettage. Celui-ci a consisté à enlever l'ancienne couche de vernis, oxydée, et à reposer une protection durable.
On dispose de peu de renseignements sur l'auteur de cette suite allégorique. Né à Anvers en 1894, peintre de sujets historiques et religieux, sculpteur, Joseph Desmedt a fréquenté à Paris l'atelier de Luc Olivier Menson et décoré avec Brunin l'église du Prado à Marseille, indique la restauratrice. La succession de ses panneaux représente un cortège à la gloire de la ville. On y reconnaît des métallurgistes, des mineurs, des usines et le beffroi, mais les autres éléments ne semblent y figurer que pour décliner l'opulence, la grandeur et la paix que le style Art déco et la conception de l'hôtel de ville expriment à l'unisson. Deux panneaux complémentaires ornent les tympans des portes latérales qui donnent accès au cabinet du bourgmestre et à la salle du collège échevinal. Le peintre anversois met en scène des personnages aux silhouettes carrées. Ils semblent défiler au rythme lent d'une marche triomphale appuyée par l'ensemble de l'architecture et de la décoration intérieure. Le traitement des tableaux d'une hauteur de 5 mètres a dû être effectué sur place étant donné leur intégration dans la menuiserie des murs. Il nous a demandé une centaine d'heures de travail , a indiqué Anne-Sophie de Grelle.
bron http://archives.lesoir.be/charleroi-sept-mois-de-travail-pour-gommer-soixante-qua_t-20000526-Z0J8RP.html
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Head of old man
1913
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